... L'Aventurier ...

Un Aventurier est vu comme une personne ayant le goût du risque et intéressé par l’exploration de territoires vierges ou la découverte de trésors perdus... Mon trésor a moi, les espaces vert du Québec.

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29 mai 2011

RMX 2011 ... Le Challenge




TrailTek Adv

Vous invite à participer au

Challenge … RMX 2011

http://trailtekadv.com/rmx_invitation_167.htm

Une Aventure d’une durée de deux jours sur un parcours de plus de 800 km (inspirée des prestigieux ''Rallye Raid") se déroulera au cœur de la vallée de l’Outaouais, du Pontiac et des Rapides-des-Joachims le samedi et dimanche 20-21 août 2011.

Le Challenge RMX 2011 présente le premier événement du genre en Outaouais, voir même au Québec. Il se veut une expérience hors du commun! Une opportunité de mettre à exécution son sens de l'observation, de la débrouillardise et de l'organisation.

Cette Aventure sportive demande une cadence soutenue de par ses longues distances à parcourir. Le tout se déroule dans le respect du milieu faunique et des autres usagers de ces routes et sentiers.

Vous possédez de l’expérience en hors route? Une bonne endurance physique et mentale? Ce Challenge est donc pour vous! Apportez une bonne dose de détermination avec un bon esprit d’équipe et l'Aventure vous attend c'est garantie!

TrailTek Adv prend la sécurité de ses participants au sérieux en leur offrant un service médical d'urgence premier répondant. De plus, son équipe formée de gens expérimentés vous assisteront en cas de bris majeur. Toute autre situation devra être prise en charge par vous et votre équipe.

Des équipes de trois à cinq pilotes devront être formées à l’avance. Aucune inscription ni départ en solitaire ne sera permis de même qu'aucune équipe de moins de 3 pilotes! (modification/fusion des équipes possible)

Les départs des équipes se feront à intervalle de quelques minutes. Plusieurs "Check Points" (CP) par jour sont prévus ainsi que la présence de premiers répondants stationnaires et de balayeurs tout au long du parcours. Entre ces points, vous êtes livrés à vous même. Votre équipe et vous faite Un!

Les pilotes doivent se présenter avec leur moto le vendredi après midi dès 16h30 pour le contrôle technique. Les motos ne satisfaisant pas au contrôle technique ne seront pas acceptées au départ (attention aux équipes de trois qui pourraient être pénalisées dans ce cas) TrailTek Adv prend en charge le transport de vos effets personnels pour le bivouac du samedi (volume alloué)

Selon l’échelle Ridaventure, le trajet est catégorisé niveau 1 à 3, voir niveau 4 en cas de pluie abondante.

http://www.ridaventure.ca/viewtopic.php?f=4&t=4941&start=0

ATTENTION: Inscriptions limitées à 50 pilotes.

Tarif par pilote,: 375,00$ (tax incluses)


13 sept. 2010

La RidaMox







Le weekend du 20 aout 2010 a eu lieu en Outaouais dans le secteur du Pontiac et des Rapides des Joachims, un Challenge de deux jours sur un parcours de plus de 800 km. Des équipes de trois à cinq aventuriers étaient formé avec un départ à intervalle de deux minutes entre chaque équipe. Vingt quatre Aventuriers étaient présent (six équipes) incluant les bénévoles soit cinq balayeurs et une conductrice pour le véhicule de soutien. Les départ débutèrent vers 8h00 am.





Jour 1


Au départ le ciel est gris et
la pluie est en route mais ne semble pas affecter le moral des troupes. Une a une, les équipes s’élancent.


Lorsque que tout les teams on quitté la ligne de départ. C’est au tour des sweepers de s’engager dans l’aventure. Tout se déroule bien, la cadence est bonne et la première demi-heure me permet de finalement commencer à relaxer et tranquillement embarquer dans la groove du Challenge


A peine 40 km de fait que Gary a une crevaison avec ‘’ Mon vieux bécik noir’’, la Dr650. Plus qu’une crevaison, un corps intrus à transpercer le pneu en y entrant par la bande de roulement pour y sortir près de la jante, déchirant le pneu en lui laissant une ouverture de plus de deux pouces. Le véhicule de soutien étant déjà au check point 1 (CP1) avec le pneu de rechange à son bord… Démonte la roue, remplace la tube, remonte la roue et l’on s’engage sans plus tarder vers le CP1 en empruntant la rte 105. A notre arrivée, les Draveurs venaient à peine de faire le plein. Tout est cool, notre temps est bon. Démonte la roue, remplace le pneu, remonte la roue et go,go,go direction Pavillon du Black Rollway dans la Foret de l’Aigle pour le lunch au CP2.


C’est à partir du chemin Beaudoin que la trail commence. Rough comme à l’habitude avec beaucoup plus d’eau mais le fond est solide donc bonne traction. Une quarantaine de km dans ce chemin qui au fil du temps est devenu un sentier local pour ensuite s’attaquer au chemin de sable du Pontiac. Arrivé au CP2 où un bon spaghetti nous attend.


Toutes les équipe y sont passé, diner et fait le plein et reparti. Le team RMX 1 étaient les premier à y arriver, ils sont maintenant les derniers à partir après avoir réparé la crevaison de Joe Rider.


Au tour de mon team de Sweepers de faire le plein, s’empifrer d’un bon spagat et l’on s’attaque au deuxième bloc de 170km du jour 1 direction Club du lac Brulé ou Thérèse et Richard Gauthier ainsi que Jim le proprio nous attendent pour une pause café/dessert bien convoité puisque notre diner est rendu assez loin merci !


Nous avons pris beaucoup de retard à cause des conditions atroces des routes et sentiers causé par les fortes pluies. Les routes de sables étaient comme une éponge et la chaussée était très difficile à négocier. J’avais l‘impression de toujours rouler sur une crevaison tellement les routes étaient savonneuses.


A mi-chemin entre CP2 et le lac brulé, Nightflyer a de sérieux problèmes. Sa chaine à débarqué des sprockets et c’est tordue au point ou ils durent reconstruire une section avec des ‘’mailles patente’’ pour pouvoir reprendre la route.



C’est à ce moment que Nigtflyer a pris la sage décision d’abandonner par mesure de sécurité. Clarence qui en était à sa première expérience dans une ride aussi intense, profite de l’occasion pour nous quitter lui aussi en accompagnant Nightflyer et sa TZR 750 jusqu'à la route 117. Les équipes se reforment et tous repartent pour compléter ce deuxième bloc jusqu’au Brulé.


Chemin faisant, je constate de l’évidence de sorties de routes ici et la. Rien de sérieux, donc je ne m’en fait pas trop, puisque moi-même j’ai à mon actif quelques fouilles à basse vitesse depuis le départ.


Lorsque Nightflyer et Clarence nous quittent à la jonction de la route 20 de la réserve faunique de La Verendry, la route est de grosse garnotte et le drainage est bon et me donne la chance de rouler à plus haute vitesse sans trop d’effort et ce jusqu'à la vielle section de cette route qui est plus sablonneuse mais qui est maintenant en Vaseline puisque saturée d’eau. ‘’Pas encore’’, j’ai besoin d’un break de cette foutu merde glissante et pas plaisante à surfer! Le Lac Brulé n’arrive pas assez vite, encore une trentaine de kilo avant le prochain stop . De plus, il se fait tard. Tout ce que j’ai en tête est de me taper un litre de café et une moitié de gâteau au chocolat maison, une foi rendu au Brulé.


Nos hôtes Richard et Thérèse Gauthier du Lac Brulé


Arrivé au Brulé avant le coucher du soleil avec plus de 4 heures de retard sur notre itinéraire, nous croisons deux équipe qui viennent de faire le plein et le temps de prendre une pause avant d’attaquer le dernier bloc de 170 km. ‘’Ça parle pas fort’’, les gars commence à avoir le ‘’trou d’cul en d’ssous du bras ‘’ mais ils ont un avantage sur moi … Ils ne savent pas ce qui les attend comme route de retour !


A notre tours de prendre un break, j’me précipite sur le gâteau et j’ingurgite une bonne dose de café. Je ne peux m’empêcher de penser au parcours qu’il nous reste à couvrir tout en regardant l’heure avancer et la noirceur tomber.


8 :30pm, c’est au tour des Sweepers d’entreprendre la dernière section entre le Brulé et les rapides des Joachims. Ma vision nocturne n’étant pas trop bonne, je suis un peu concerné à l’effet d’entreprendre cette section. Heureusement, l’éclairage de la Klx est de beaucoup supérieur à ma vielle Dr, facilitant ainsi la navigation. Gary et GregVince avec leurs plus grosses cylindrées, prennent les devants puisqu’il est plus facile de négocier cette vase épaisse avec plus de puissance et de vitesse que la petite Klx avec ces 17hp. ThierryV et Dualspotrman sont devant moi et profite de l’éclairage de la Klx puisque le 35w de leurs Katoom n’est pas suffisant et pas trop sécuritaire.



C’est la nuit et ça fait plus de douze heures que l’on doit négocier ce mauvais temps et ces conditions de routes pitoyables. Je devrais être fatigué, épuisé mais je ne sens rien, je suis en focus. L’adrénaline fait son boulot, le moral est bon et celui des autres balayeurs aussi. Le spaghetti étant digéré, le gâteau du Lac Brulé aussi, je suis en manque de calories, de grosses protéines brutes. Tout seul dans mon casque, je fabule. J’imagine un gros steak d’orignal, une bouteille de rouge, quatres écrans télé, suround sound et douze remotes control. Le temps file, j’oublie la boue, la glisse, les trous, les roulières laissée par les 20+ motos devant moi, les maux de genoux et les cuisses fébriles de se tenir mi-assis, mi-debout pendant de longues heures.


Arrivé chez les guides de la vallée Dumoine, il est maintenant 1H30. C’est silencieux, voir inquiétant. Tout à coup mon sens olfactif digne d’homme des cavernes perçoit ce parfum qui agite mon système digestif et agace mes papilles gustatives. Je me défais de mon armure d’aventurier, je prends quelques minutes pour réapprendre à marcher, saluer ma douce qui nous attend impatiemment avec plus de cinq heures de retard.


Je laisse mon pif me guider, il me dirige droit vers l’escalier de l’auberge qui mène à la salle à diner. Il est presque 2H00 am et Daniel Trembley des Guides de la Vallée Dumoine et son équipe son dans le feu de l’action, le BBQ roule à fond. Une bonne quinzaine de Vikings son à table, quelque peu fatigués de leurs première journée mais affamés comme des loups qui n’ont pas eu l’hiver facile.


Je vois ces gros steaks de bucheron me passer devant le visage, j’en bave, mes enzymes gastrique ont déjà commencer à s’attaquer à mon estomac tellement je suis en manque de grosse prot.

C’est à mon tour de me ré-énergiser, il est tard et ça ne me laisse pas beaucoup de temps à digérer car le petit dej doit être servi pour 8H00 am

Une foi bien nourrit, je quitte la table pour m’isoler un peu de l’action et je retrouve ma douce au feu de camp, question récapituler sur le déroulement de notre journée et se préparer la tête pour la journée suivante. La fatigue commence à s’installer. 3h30, c’est l’heure du dodo…

Jour 2

6H30, pitipaf-pitipouf, comme une flèche je me précipite hors de mon lit et me réchauffe un TIM, oui messieurs… Un TIM ! Que je prends soin de bien dissimuler pour ne pas me le faire picker puisque que très au rare au Joachims. Froget l’avait rapporté de la ville en revenant du Black Rollway la veille.

C’est le calme total, mon équipe dort solide ainsi que les motos. Wow ! Il ne pleut pas, ce n’est pas normal ! Je sors avec mon Tim, question de baver les quelques Aventuriers qui sont dehors à inspecter leurs montures après l’abus qu’elles ont subient la journée précédente.


Oupss!


À table messieurs, oui, encore à table, c’est le petit déjeuner. RMX 1 y sont premier, ce n’est pas très long que le reste des guerriers prennent possession de la salle à manger.


Tous étant bien rassasiés, il est maintenant temps d’aligner ces flutes afin de s’engager dans la première section de 170km du jour 2 entre les Joachims et Fort Coulonge. Les équipes font le plein et se rejoignent tous à l’entrée du ZEC des Joachims pour le départ.

Ti-Pat et Joe Rider

Rolaro et Froget

Le ciel est couvert mais la pluie n’est toujours pas de la partie, on s’y attend puisque prévue. Le moral des troupes est bon considérant le peu de sommeil de la nuit précédente. Les premiers 20 km son de sable mou mais beaucoup moins vaseux que la veille. On quitte le chemin de sable pour s’engager sur le sentier de motoneige TQ43 qui relie les Joachims à Fort Coulonge. Sentier assez ‘’tight’’ et plus ‘’rough’’ mais assez excitant à rouler. Bien heureux de chevaucher la Klx qui est beaucoup plus légère et nerveuse que ma Dr. J’en profite pour rattraper le fun manqué la veille sur des routes de savons. Surpris de voir que Gary me suis aux fesses avec ma grosse Dr puisqu’il n’a pas roulé depuis quelques années et de plus ce n’est pas sa moto.

GregVince et l’furet


Dualsportman et ThierryV

Petite pause à mi-chemin entre les Joachims et Coulonge

Le mood est plus relax aujourd’hui, c’est le retour et le pire est derrière nous. Les équipes prennent plus de pause chemin faisant. Cette section entre les Joachims et Coulonge est la plus lente du Challenge. Les courbes sont plus serrées, le terrain est plus accidenté, les côtes son délavées ne laissant que des avalanches de roches dans les montées et descentes.

Rhino sort son kit de Master Chef et profite de cette pause pour se taper une baguette, petit fromage et une bouteille de rouge.

Pour les Sweepers, ce fut un des derniers stop avant le lunch à Coulonge. Les équipes reprennent le sentier, la cadence est bonne et le fun est de mise. Ce bloc entre les Joachims et le diner était la cerise sur le sundae pour ce qui en est de mon weekend. Il ne pleuvait pas, la traction était superbe et le sentier pas trop rapide pour les 17hp de ma Klx.

Pour une raison qui m’échappe, nous avons pris du retard et sommes arrivés au diner à Coulonge vers 15h45. La pluie a repris, l’équipe RMX 1 avaient déjà diné, fait le plein et quitter pour la maison puisqu’il se faisait tard et que compléter le challenge leurs demandaient un autre quatre heures et ce, sous la pluie. Après avoir mangé, la fatigue commence à se manifester. Les autres équipes avaient déjà pris la sage décision de ‘’bailé out’’ et ce fut de même pour nous les Sweepers.

Les routes de retours étaient une combinaison de bitume et de garnotte. Je suis en mode relax, le taux d’adrénaline est à son minimum, les routes sont superbes et le décor est sublime. Tout seul dans mon casque, dans ma tête, je repasse le film de mon weekend. Malgré le mauvais temps et les conditions pitoyables des routes, la fatigue, les douleurs musculaires … Je r’partirais demain ! Pour une première tentative, ce challenge fut une superbe expérience, tant sur l’aspect organisationnel que participant à l’évènement.

J’espère que tous ont eu autant de plaisir que nous et que vous serez de retour en 2011 afin de fermer la boucle, sans pluie, espérons-le.

Dyne & Marc

RMX1

Woody37, Joe Rider, Ti- Pat , yamyam (samedi)

Les Draveurs

Lfuret, Tuktu, 12bong13,Rhino,

Le Crackpot team

FrankMX, Duquette,King Zoo

Jenesaispaslenomencore

Rolaro, Touring31, c.par.la,Nightflyer, Clarence

Les Sweepers

Mox, ThierryV, Dualsportman, GregVince, TZR Gary

PMS on Wheels

(véhicule de soutien)
Froget

22 mai 2010

RMX prospect 2

Le samedi 15 mai, je rencontre Pierre chez lui, on accroche sa remorque et sa KTM et on prend la 148 jusqu'à Fort Coulonge ou Phil nous attend depuis une mèche. Le but de la sortie est d'aller valider le parcours d'après midi du J1 de la RidaMox prévu pour le weekend du 21/22 aout 2010.

Belle journée en perspective. Pas de soleil donc pas d'ombre, le mercure devrai frôlé les 20C. Phil est un peu magané de sa dernière ride. Il est pris d'une tendinite dans le coude d'avoir trop clutché ! Je croyais que la clutch était une option ... pas besoin de ça Phil !



Tout ce déroule bien, la cadence est bonne mais le temps est sec, conséquemment, beaucoup de poussière. Pas pour moi, je suis a l'avant mais mes deux copain en on eut pour leur argents.

Avec une bonne idée du genre de routes empruntées aujourd'hui, j'ai opté pour la Klx 250 a cause de sa légerté et sa maniabilité en terrain accidenté et technique comparativement a ma Dr650 ...

Aucun regret. Je pensai bien ralentir mes copains avec mon 17hp mais cette petite machine ne cesse de me surprendre



Une foi rendu a la TQ43 via le chemin Rochon, voila que l'on attaque la section anticipé. Surement un sentier de motoneige rapide en hiver mais en moto l'été, c'est une autre histoire. Plus technique et moins rapide mais très plaisante a ridé. Des arbres tombé ici et la mais rien pour trop nous retarder.

A cause des faibles précipitations de ce printemps ... pas de trou de'' bouette '' pour aller se rafraichir ou se faire suer !


Cette section de la Trans Quebec est assez lente et plus accidenté que celle du retour. Avec une quarantaine de kilomètres en moins que la partie nord du retour, cette section demande un peu plus d'adresse et de concentration et prend environ le même temps a couvrir. Je préfère le moins technique et plus rapide avec ma grosse DR650 ... Moins dur sur le vieux.

La région du Pontiac, Rapide des Joachims, Temiscamingue, nous offre un des plus beau et grand terrain de jeu en province. Avec ses millier de kilomètres de garnotte et des décors enchanteur, ces région ne sont certes pas a négliger pour l'Aventurier désireux de découvrir davantage de territoire et de superbe routes.

Riviere Dumoine


Au fur et a mesure que l'on se rapproche des Joachims, le sable se fait de plus en plus présent. N'étant pas trop friand du sable a cause d'un manque d'exposition mais a force de le rouler, le stress diminue, la confiance reprend et l'habitude s'installe.

J'ai essayer la 690 a Pierre sur de grosse route de sable humide ... C'est dément la sensation de puissance de ce moteur dans une longue courbe de sable en dérapage contrôlé. C'est trop, je n'ai plus les nerf d'il y a 20 ans.

A la sortie du ZEC des rapides des Joachims, tous se doivent de payer le droit d'accès au ZEC. Cela permet au ZECs d'entretenir ces routes qui nous procurent plaisir et d'agrément.

Le temps de payer nos droits de passage et hop direction Rolphton pour luncher et faire le plein


Âpres s'être bien rassasier, quelques ajustement sur la moto il est temps de reprendre le chemin du retour. Il est déjà 15h00 et il nous reste encore un bon bout de chemin a faire avant de revenir a Fort Coulonge. Ça ne va pas trop bien pour Phil avec sa tendinite, il a peine a utiliser sa '' clutch '' mais il tient le coup.

Arrivé a Coulonge a 20h30, nous étions bien heureux de retourné a la maison en pickup puisque le mercure avait baissé considérablement et la pluie était de la partie.



Départ 9h30
Retour 20h30
Distance parcourue 400 km+/-